[Gaito] Fuyu to natsu, Gaito et Aaran

Prénoms, noms, âges :
Il est Aofuyu no Gaito, il a quatorze ans.
Elle est Akanatsu no Aaran, et elle a douze ans.

Rêves :
Gaito n’a pas vraiment de rêve, mais s’il pouvait se débarrasser d’Aaran une bonne fois pour toute, il n’hésiterait pas… Du moins le prétend-il.
Aaran a bien un rêve : Se débrouiller pour que Gaito la remarque. Malheureusement, c’est pas gagné…

Personnalité :

Gaito est un jeune homme de haute taille aux cheveux argentés, silencieux et taciturne. Il a un caractère assez colérique intérieurement. Il rencontre beaucoup de gens, mais ne se rapproche que de peu d’entre eux, car il a une haute opinion de lui-même. Solitaire, il déteste être dérangé quand il réfléchit dans son coin. Il ne supporte ni les lâches ni les pleurnichards. Souvent sarcastique, doué d’un véritable sens de l’ironie et il aime faire enrager le monde, mais possède un grand contrôle de lui-même.
Aaran est en apparence timide et mélancolique. Seulement, face à Gaito, elle devient hystérique pour une mystérieuse raison. Aaran s’habille en noir, elle est rousse aux yeux orange pâle. Cette jeune fille est plutôt grande, mais bien moins que Gaito. Face aux autres, elle se sous-estime toujours, cependant elle sait se montrer courageuse au besoin. Tout comme Gaito, elle est toujours en train de chanter.


Pokémon :

Gaito

Surnommée Sara

Surnommé Sardon

Surnommé Midori

Aaran

Surnommée Sara

Surnommée Ichigo

Surnommé Taruto


Famille:
Aaran est fille unique. Sa mère est morte, son père la hait, et ses grands-parents sont totalement indifférents à leur petite-fille, sauf pour l’argent qu’elle peut leur rapporter.
Gaito est lui aussi fils unique. Ses parents sont très occupés bien que très riches, et ne font guère attention à lui.


Histoire

Aaran est née le jour du solstice d’été, à Vestigion. Sa mère, trop fragile pour porter un deuxième enfant, l’a totalement rejetée à cause de sa volonté d’avoir un garçon. Brisée, la femme est morte. Son père, fou de rage, est devenu mauvais et a failli la tuer. Elle n’en a réchappé uniquement grâce à l’intervention d’un enfant de deux ans, qui avait été attiré par les cris. Le père s’est maîtrisé, mais est parti de la ville. On en a plus de nouvelles à ce jour, ce qui ne bouleverse pas outre mesure Aaran.
Ses grands-parents, au contraire, ont été importants à ses yeux. Je dis bien « ont été » car les choses ont brutalement changées le jour de ses douze ans. Jour où elle est devenue dresseuse Pokémon.
Donc, ses grands-parents l’ont choyée, gâtée juste ce qu’il fallait, jusqu’à ce qu’elle devienne une enfant timide et sans éclat, qui obéissait toujours à ceux qu’elle considérait encore comme des bienfaiteurs.
Vers ses six ans, elle a rencontré un jeune garçon, Gaito de son prénom. Elle en est devenue complètement folle, et a appris à se « lâcher » en sa présence. Elle n’était exubérante que devant lui, qui, silencieux et explosif, l’a souvent envoyée balader d’un coup de pied.
Sara est le prénom de sa mère, qu’Aaran aimait beaucoup, en raison de son ignorance au sujet de la mort de celle-ci.
Seulement, le jour de ses douze ans, elle a surpris une conversation téléphonique entre sa grand-mère et un homme qui se trouvait être le père de Gaito. Selon cette discussion, Aaran était la fiancée légitime de Gaito, et devrait se marier avec lui dés qu’elle en aurait l’âge.
Bien que dingue de son cher ami, la dureté des paroles de sa grand-mère, qui remettait en cause ce que pensait Aaran de ses grands-parents, l’a énormément choquée. Elle s’est enfuie jusqu’à Artys, n’emmenant que son Ipod et son téléphone comportant le numéro de Gaito, et c’est là qu’elle est devenue dresseuse Pokémon.

Gaito, lui, est né le premier jour de l’hiver. Il a le souvenir clair d’une première année difficile, élevé par une mère qui n’y connaissait rien et d’un père trop souvent absent. Enfant du maire de sa ville natale, à savoir Vestigion, il a vécu avec des nourrices durant toute la suite de son enfance et n’a guère connu ses parents. Pas vraiment précoce, il fit cependant des efforts pour se faire remarquer de ses parents, sans résultat concret.
Un certain talent pour le dessin naquit à cette époque. Cependant, le professeur de dessin engagé par sa mère étant trop exigeant, il en devint à son tour maniaque sur ce point de vue là, et commença à plus chiffoner que dessiner, mécontent de ses esquisses.
Quand il rencontra Aaran, sa première impression fut : « Mignonne, mais trop renfermée ». Deux jours plus tard, c’était « Folle, malade, et complètement dingue ». Comme quoi le jeune pouvait être versatile s’il en avait envie.
Elle est la seule à l’avoir complimenté « sincèrement » sur ses dessins, et la seule à l’avoir fait rougir. C’est aussi l’unique personne qu’il se refusa toujours de dessiner, pris d’une peur panique à l’idée qu’elle ne découvrit un dessin la représentant. Il connut rapidement l’histoire de Sara, mais ne voulut pas détromper la jeune fille.
C’est aussi vers ce moment là qu’il devint méchant. Ses remarques, de plus en plus sarcastiques, firent craquer deux nourrices, un instituteur et même son propre père, qui le gifla durant une conversation animée. Ceci n’ayant pas arrêté la jeune terreur qui s’était mise à la musique pour supporter Aaran, il se vit couper les vivres et dut continuer en ayant pour seules ressources le lit et la nourriture que son père lui accordait.
Vers ses quatorze ans, quelques jours après la disparition d’Aaran, il partit vers Artys et devint dresseur à son tour.


Amis /Connaissances

Gaito

Fuyuko : Il ne la connait que peu, car elle s’est barrée durant son match d’arène . Sans vraiment l’apprécier à cause de sa légère « folie », il ne l’attaque pas de piques blessantes, ce qui est déjà un pas gigantesque pour lui. Cette attachante gamine n’est pas sans lui rappeler Aaran.

Aaran : Ah, elle… Il la déteste. Il l’adore. Elle l’insupporte. Elle lui est sympathique. En fait, il n’en sait rien, et, à vrai dire, ne veut rien en savoir. Du moment qu’elle reste loin de lui…

Aaran

Gaito : Elle en est dingue. Dingue de chez dingue. Elle ferait tout pour lui. Déplacer des montagnes ? Pas de problème. Elle finira sans doute par le retrouver. Dés qu’elle aura compris qu’elle tient sa carte à l’envers… Ah, l’amour